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Janvier 2011 : Un enfant court dans une ruelle insalubre du bidonville "Laura Squat", au nord de Manille, Philippines.
La capitale des Philippines compte près de 20 millions d’habitants et attire quotidiennement des centaines de milliers de pauvres venus de toutes les provinces de l’archipel. Ils viennent s’installer à Manille pour fuir des conditions de travail moyenâgeuse, des conditions climatiques meurtrières, et parce qu’ils s’imaginent que leur vie y sera meilleure – un leurre, dans la plupart des cas. Manille (Philippines)
Jean-Matthieu GAUTIER/CIRIC313095
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Janvier 2011 : Dans le bidonville de Laura Squat, aux nord de Manille, une Une jeune femme tient une enfant dans ses bras.
La capitale des Philippines compte près de 20 millions d’habitants et attire quotidiennement des centaines de milliers de pauvres venus de toutes les provinces de l’archipel. Ils viennent s’installer à Manille pour fuir des conditions de travail moyenâgeuse, des conditions climatiques meurtrières, et parce qu’ils s’imaginent que leur vie y sera meilleure – un leurre, dans la plupart des cas. Manille (Philippines)
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Janvier 2011 : Un enfant joue avec une roue dans la zone portuaire de Navotas, à l'ouest de Manille.
La capitale des Philippines compte près de 20 millions d’habitants et attire quotidiennement des centaines de milliers de pauvres venus de toutes les provinces de l’archipel. Ils viennent s’installer à Manille pour fuir des conditions de travail moyenâgeuse, des conditions climatiques meurtrières, et parce qu’ils s’imaginent que leur vie y sera meilleure – un leurre, dans la plupart des cas. Manille (Philippines)
Jean-Matthieu GAUTIER/CIRIC313097
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Janvier 2011 : Un enfant joue dans la zone portuaire de Navotas, à l'ouest de Manille.
La capitale des Philippines compte près de 20 millions d’habitants et attire quotidiennement des centaines de milliers de pauvres venus de toutes les provinces de l’archipel. Ils viennent s’installer à Manille pour fuir des conditions de travail moyenâgeuse, des conditions climatiques meurtrières, et parce qu’ils s’imaginent que leur vie y sera meilleure – un leurre, dans la plupart des cas. Manille (Philippines)
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Janvier 2011 : Depuis sa fenêtre du métro aérien de Manille, un homme regarde un chantier de construction.
La capitale des Philippines compte près de 20 millions d’habitants et attire quotidiennement des centaines de milliers de pauvres venus de toutes les provinces de l’archipel. Ils viennent s’installer à Manille pour fuir des conditions de travail moyenâgeuse, des conditions climatiques meurtrières, et parce qu’ils s’imaginent que leur vie y sera meilleure – un leurre, dans la plupart des cas. Manille (Philippines)
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Janvier 2011 : Vue d'ensemble de la ville de Manille avec ses bidonvilles en premier plan et ses hauts immeubles d'habitation ou de bureau au second plan.
La capitale des Philippines compte près de 20 millions d’habitants et attire quotidiennement des centaines de milliers de pauvres venus de toutes les provinces de l’archipel. Ils viennent s’installer à Manille pour fuir des conditions de travail moyenâgeuse, des conditions climatiques meurtrières, et parce qu’ils s’imaginent que leur vie y sera meilleure – un leurre, dans la plupart des cas. Manille (Philippines)
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Janvier 2011 : Jeunes mariés posant pour une équipe de photographes devant la baie de Manille.
La capitale des Philippines compte près de 20 millions d’habitants et attire quotidiennement des centaines de milliers de pauvres venus de toutes les provinces de l’archipel. Ils viennent s’installer à Manille pour fuir des conditions de travail moyenâgeuse, des conditions climatiques meurtrières, et parce qu’ils s’imaginent que leur vie y sera meilleure – un leurre, dans la plupart des cas. Manille (Philippines)
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Janvier 2011 : Cireur de chaussure devant la baie de Manille.
La capitale des Philippines compte près de 20 millions d’habitants et attire quotidiennement des centaines de milliers de pauvres venus de toutes les provinces de l’archipel. Ils viennent s’installer à Manille pour fuir des conditions de travail moyenâgeuse, des conditions climatiques meurtrières, et parce qu’ils s’imaginent que leur vie y sera meilleure – un leurre, dans la plupart des cas. Manille (Philippines)
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Janvier 2011 : Un chauffeur de jeepney - moyen de transport collectif le plus populaire aux Philippines - attend ses clients. Chauffeur de Jeepney est un métier très prisé des habitants des bidonvilles.
La capitale des Philippines compte près de 20 millions d’habitants et attire quotidiennement des centaines de milliers de pauvres venus de toutes les provinces de l’archipel. Ils viennent s’installer à Manille pour fuir des conditions de travail moyenâgeuse, des conditions climatiques meurtrières, et parce qu’ils s’imaginent que leur vie y sera meilleure – un leurre, dans la plupart des cas. Manille (Philippines)
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Janvier 2011 : Une vigile d'un supermarché du centre de Manille se maquille sous l'oeil amusé de son collègue. Vigile, ou gardien compte parmi les petits métiers très prisés des habitants des bidonvilles.
La capitale des Philippines compte près de 20 millions d’habitants et attire quotidiennement des centaines de milliers de pauvres venus de toutes les provinces de l’archipel. Ils viennent s’installer à Manille pour fuir des conditions de travail moyenâgeuse, des conditions climatiques meurtrières, et parce qu’ils s’imaginent que leur vie y sera meilleure – un leurre, dans la plupart des cas. Manille (Philippines)
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Janvier 2011 : Des gardiennes de parking plaisantent entre elles. Gardien de parking fait partie des métiers prisés par les habitants des bidonvilles.
La capitale des Philippines compte près de 20 millions d’habitants et attire quotidiennement des centaines de milliers de pauvres venus de toutes les provinces de l’archipel. Ils viennent s’installer à Manille pour fuir des conditions de travail moyenâgeuse, des conditions climatiques meurtrières, et parce qu’ils s’imaginent que leur vie y sera meilleure – un leurre, dans la plupart des cas. Manille (Philippines)
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Janvier 2011 : Sous un pont en plein centre ville de Manille, une femme originaire de l'île de Leyte (particulièrement touchée par les typhons) s'est aménagée une cabane où elle vit.
La capitale des Philippines compte près de 20 millions d’habitants et attire quotidiennement des centaines de milliers de pauvres venus de toutes les provinces de l’archipel. Ils viennent s’installer à Manille pour fuir des conditions de travail moyenâgeuse, des conditions climatiques meurtrières, et parce qu’ils s’imaginent que leur vie y sera meilleure – un leurre, dans la plupart des cas. Manille (Philippines)
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Janvier 2011 : Entrée du cimetière bidonville de Navotas, à l'ouest de Manille - où les gens vivent littéralement au milieu des caveaux. Un homme passe devant la boulangerie. Deux enfants jouent. Une famille se recueille devant le tombeau d'un proche défunt.
La capitale des Philippines compte près de 20 millions d’habitants et attire quotidiennement des centaines de milliers de pauvres venus de toutes les provinces de l’archipel. Ils viennent s’installer à Manille pour fuir des conditions de travail moyenâgeuse, des conditions climatiques meurtrières, et parce qu’ils s’imaginent que leur vie y sera meilleure – un leurre, dans la plupart des cas. Manille (Philippines)
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Janvier 2011 : Arturo vient se recuillir sur la tombe de son fils et de son père, mort dans l'incendie qui a ravagé leur bidonville. Aux Philippines, les bidonvilles brûlent souvent. Souvent par accident, mais pas toujours. Cimetière bidonville de Navotas, Manille, Philippines.
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Janvier 2011 : Un enfant joue aux dessus des caveaux dans le cimetière bidonville de Navotas. La capitale des Philippines compte près de 20 millions d’habitants et attire quotidiennement des centaines de milliers de pauvres venus de toutes les provinces de l’archipel. Ils viennent s’installer à Manille pour fuir des conditions de travail moyenâgeuse, des conditions climatiques meurtrières, et parce qu’ils s’imaginent que leur vie y sera meilleure – un leurre, dans la plupart des cas. Manille (Philippines)
Jean-Matthieu GAUTIER/CIRIC313109
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Janvier 2011 : Partie de billard au milieu des tombes dans le cimetière bidonville de Navotas.
La capitale des Philippines compte près de 20 millions d’habitants et attire quotidiennement des centaines de milliers de pauvres venus de toutes les provinces de l’archipel. Ils viennent s’installer à Manille pour fuir des conditions de travail moyenâgeuse, des conditions climatiques meurtrières, et parce qu’ils s’imaginent que leur vie y sera meilleure – un leurre, dans la plupart des cas. Manille (Philippines)
Jean-Matthieu GAUTIER/CIRIC313110
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Janvier 2011 : Partie de basket -sport très populaire aux Philippines - dans le cimetière bidonville de Navotas.
La capitale des Philippines compte près de 20 millions d’habitants et attire quotidiennement des centaines de milliers de pauvres venus de toutes les provinces de l’archipel. Ils viennent s’installer à Manille pour fuir des conditions de travail moyenâgeuse, des conditions climatiques meurtrières, et parce qu’ils s’imaginent que leur vie y sera meilleure – un leurre, dans la plupart des cas. Manille (Philippines)
Jean-Matthieu GAUTIER/CIRIC313112
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Janvier 2011 : Une femme et son enfant devant un sari-sari shop (une petite boutique de rue) dans le cimetière bidonville de Navotas.
La capitale des Philippines compte près de 20 millions d’habitants et attire quotidiennement des centaines de milliers de pauvres venus de toutes les provinces de l’archipel. Ils viennent s’installer à Manille pour fuir des conditions de travail moyenâgeuse, des conditions climatiques meurtrières, et parce qu’ils s’imaginent que leur vie y sera meilleure – un leurre, dans la plupart des cas. Manille (Philippines)
Jean-Matthieu GAUTIER/CIRIC313113
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Janvier 2011 : Une petite fille pose avec sa poupée dans les bras, sur une tombe du cimetière bidonville de Navotas.
La capitale des Philippines compte près de 20 millions d’habitants et attire quotidiennement des centaines de milliers de pauvres venus de toutes les provinces de l’archipel. Ils viennent s’installer à Manille pour fuir des conditions de travail moyenâgeuse, des conditions climatiques meurtrières, et parce qu’ils s’imaginent que leur vie y sera meilleure – un leurre, dans la plupart des cas. Manille (Philippines)
Jean-Matthieu GAUTIER/CIRIC313116
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Janvier 2011 : Des enfants joue dans une rue insalubre d'un bidonville du quartier de Calaucan, à Manille.
La capitale des Philippines compte près de 20 millions d’habitants et attire quotidiennement des centaines de milliers de pauvres venus de toutes les provinces de l’archipel. Ils viennent s’installer à Manille pour fuir des conditions de travail moyenâgeuse, des conditions climatiques meurtrières, et parce qu’ils s’imaginent que leur vie y sera meilleure – un leurre, dans la plupart des cas. Manille (Philippines)
Jean-Matthieu GAUTIER/CIRIC313118